1$ Chester A. Arthur 2012 D

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Chester Alan Arthur (5 octobre 1829 - 18 novembre 1886) fut le 21e président des États-Unis.

Il termina le mandat de James Garfield assassiné en 1881 jusqu’en 1885.

Arthur lutta pour balayer les soupçons concernant ses débuts de politiciens dans la machine républicaine de New York et y parvint en embrassant la cause de la réforme de la fonction publique.

La défense et la mise en place du Pendleton Civil Service Reform Act fut le point d'orgue de son administration.
Né à Fairfield dans le Vermont, Arthur grandit dans l'État de New York et rendit la loi à New York.

Il s'investit au sein du parti républicain et gravit rapidement les échelons de la machine politique dirigée par le sénateur de New York Roscoe Conkling.

Nommé par le président Ulysses S. Grant au poste lucratif et politiquement influent de collecteur du port de New York en 1871, Arthur était un important partisan de Conkling et de la faction « Stalwart » du parti républicain. Il fut démis de ses fonctions par le nouveau président Rutherford B. Hayes en 1878 dans un effort pour réformer le système de patronage fédéral à New York.

Lorsque James Garfield remporta la nomination républicaine pour l'élection présidentielle de 1880, Arthur fut choisi pour briguer la vice-présidence afin d'équilibrer le « ticket ».
Après juste six mois en tant que vice-président, Arthur se retrouva subitement à la Maison Blanche.

À la surprise des réformateurs, Arthur se rallia aux réformes qui avaient autrefois entrainé son expulsion du poste de collecteur.

Il signa le Pendleton Act et fit appliquer vigoureusement ses dispositions.

Il fut félicité pour son veto sur un Rivers and Harbors Act qui aurait affecté des fonds fédéraux d'une manière qu'il jugeait excessive et il présida à la renaissance de l'United States Navy mais fut critiqué pour ne pas avoir réussi à réduire le surplus budgétaire qui s'était accumulé depuis la fin de la Guerre de Sécession.

Malade, il ne chercha pas vraiment à se représenter en 1884 et se retira à la fin de son mandat.

Comme le journaliste Alexander McClure l'écrivit plus tard, « Aucun homme n'avait accédé à la Présidence en étant si largement et si profondément méprisé que Chester Alan Arthur et aucun ne s'était retiré avec un tel respect que ce soit de la part de ses amis ou de ses ennemis politiques ».

Même si sa santé fragile et son tempérament politique avaient rendu son administration moins active qu'une présidence moderne, il remporta les louages de ses contemporains du fait de sa bonne performance en tant que président.

Le New York World résuma la présidence d'Arthur à sa mort en 1886 : « Aucune mission ne fut négligée sous son administration et aucun projet aventureux n'inquiéta la nation.

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